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Felix Tobeen - Expertise et Estimation gratuite en ligne de votre tableau |
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Felix Tobeen - Expertise et Estimation gratuite en ligne de votre tableau
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Présent dans toute la France Le peintre et graveur français Tobeen (Bordeaux 1880, Saint-Valery-sur-Somme 1938) œuvre pendant une période de grands bouleversements dans le monde de l’art. Résidant à Paris à partir de 1907 il s’intègre dans le groupe des peintres cubistes. Il réalise alors des œuvres influencées par le mouvement, mais trouvera bientôt son style propre : le réalisme poétique. L’empreinte du cubisme y demeurera cependant perceptible.
Tobeen participe à des expositions marquantes comme celle de la Section d’or (Paris 1912) et ses œuvres sont présentes dans de nombreux Salons et galeries. Tobeen travaille lentement et ne laissera qu’environ 300 œuvres, pour la plupart des tableaux, mais aussi quelques gravures sur bois, aquarelles et dessins. La présence de ses œuvres sur le marché de l’art et sa notoriété resteront par conséquent limitées. Pourtant, l’importance de Tobeen a bien été reconnue par de grands marchands d’art, néerlandais, entre autres.
Bien que Tobeen soit né et ait grandi à Bordeaux, il est considéré comme un artiste basque en raison des thèmes qu’il développe dans sa peinture. Pourtant ni lui, ni ses parents, ne sont basques. De même, son véritable nom n’est pas Tobeen, mais Félix Élie Bonnet. Tobeen est un pseudonyme, anagramme ludique de Bonnet. L’artiste signe ses œuvres et sa correspondance : Tobeen, et c’est ainsi que l’appellent ses amis.
Félix Bonnet est issu d’une famille d’artisans. Très jeune, il apprend le métier de décorateur et graveur sur bois dans l’atelier de son père et de son oncle. Il fait également son apprentissage chez l’artiste-peintre bordelais, Émile Brunet. On peut ainsi dire que Tobeen, tout en suivant une formation, est autodidacte.
A l’instar d’Albert Marquet et Odilon Redon, Tobeen quitte Bordeaux pour Paris. Il y rencontre les peintres que l’on appellera bientôt « cubistes », ainsi qu’il l’écrit à son ami, l’artiste-peintre André Lhote, lui-même pour le moment toujours à Bordeaux. Les deux peintres s’impliquent dans le renouveau des arts plastiques, comme en témoigne, en 1913, Le Bassin dans le parc de Tobeen.
Bien que le peintre réside à Paris pendant de longues années, jusqu’en 1924 environ, il n’est pas un citadin. Toute sa vie il retournera à Bordeaux vers la forêt landaise, les vignes du Médoc, ou plus au sud, vers le pays et la côte basque. Il y apprécie la vie campagnarde, les petits ports, les villages au pied des Pyrénées, les hommes et les femmes basques, comme l’attestent ses tableaux : Paysage basque (1910), Pelotaris (1912), Buveur à la gourde (1916), La Basquaise devant le port de Ciboure ou Vue de Saint Jean de Luz (1927).
A Bordeaux, l’art moderne n’est pas exposé ; on ne trouve guère de collectionneurs d’art contemporain, impressionniste, expressionniste ou symboliste. Une des rares exceptions est le vigneron bordelais Gabriel Frizeau, dans la maison duquel Tobeen découvre un environnement artistique. Dans la collection de Frizeau, il trouve des œuvres riches en couleur de Gauguin, Adolphe Monticelli, Georges Rouault ou Maurice de Vlaminck et des symbolistes comme Odilon Redon. Frizeau reçoit régulièrement chez lui des peintres mais aussi des romanciers, des poètes, des journalistes et des critiques. Parmi les peintres on y rencontre Charles Lacoste et André Lhote à qui le collectionneur achète aussi des tableaux.
Entre le poète, écrivain et critique Olivier Hourcade et Tobeen existe une solide amitié qui en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, se termine brutalement avec la mort au champ d’honneur d’Olivier Hourcade. Ce dernier qui apprécie énormément la peinture de Tobeen, a écrit à maintes reprises sur son travail. C’est également grâce à lui que Tobeen participe à des réunions littéraires comme celles de l’Abbaye de Créteil et celle de La Closerie des Lilas. C’est encore par son intermédiaire qu’il fait la connaissance du poète Jean Lebrau avec lequel il restera toujours ami.
En compagnie d’Olivier Hourcade, Tobeen visite aussi les ateliers des frères Raymond Duchamp-Villon et Jacques Villon ainsi que celui d’Albert Gleizes, situés respectivement à Puteaux et Courbevoie en banlieue parisienne. On y débat vivement sur le cubisme, on y développe de nouvelles théories et on y organise des expositions collectives parmi lesquelles celle de la Section d’or de 1912.
Vers 1911, les artistes de ce groupe sont qualifiés, avec une pointe d’ironie, de « cubistes ». Ils poursuivent la voie de Cézanne, réduisent leur palette et adoptent des formes abstraites géométriques. Jacques Villon à qui Tobeen dédicace une version du Filet, souligne l’importance du nombre d’or et des idées de Léonard de Vinci. Il prône ainsi le retour à l’équilibre classique et souhaite que son œuvre témoigne d’un « classicisme de la modernité », ce que revendiquent aussi Gleizes et Metzinger dans leur livre « Du “Cubisme” ». Tobeen ne recherche pas l’application mécanique d’un rapport de mesure fixe comme celui du nombre d’or, mais une harmonie et un rythme selon lui, intemporels, dont il perçoit intuitivement la justesse. Son travail rejoint parfaitement celui des artistes de la Section d’or qui en fait peignent dans un « style parallèle » au cubisme de Picasso et de Braque. Cependant Tobeen, critique, garde ses distances avec le groupe et écrit dans une lettre « (…) les théories m’intéressèrent au début, mais […] l’irréalisation plastique m’apparut aussitôt ». Il s’obstine à poursuivre la tradition occidentale d’une manière cubiste et orphique personnelle et s’orientera finalement vers un style poétique post-cubiste : La Femme aux fleurs (1913), Le Filet (1913). Sa reconnaissance comme peintre date de l’achat de son tableau Pelotaris (1912) au Salon des Indépendants de 1912 par Théodore Duret, critique d’art faisant alors autorité. Lors de ce Salon en 1914, le collectionneur néerlandais, le pasteur Van Assendelft, achète Le Filet (1913); qu’il prêtera pour une exposition de la Rotterdamsche Kunstkring la même année.
Le peintre est mobilisé pendant six mois de mars à septembre 1915 ; il est gravement blessé et après plusieurs séjours à l’hôpital, il sera réformé avec honneur. En septembre 1916 il est à Paris où il épouse la poétesse Louise Justine Dewailly, (dite Madeleine). Il reprend ses activités, peint et prépare des tableaux pour des expositions et la vente. Le marché de l’art reprend et en mai 1917 Tobeen a une exposition personnelle dans la galerie Eugène Blot.
Très vite, il n’est plus uniquement attiré par les paysages du Midi mais également par ceux du nord de la France, d’où est originaire Madeleine. C’est à présent la côte de la Manche qui les séduit plus particulièrement, « continuellement balayée par les grands vents… ». A l’automne 1919, il envoie pour la première fois après la guerre, des travaux aux Salons et à partir de cette période, et jusqu’en 1934, il participe presque tous les ans au Salon d’Automne. Les galeristes lui envoient fréquemment des invitations pour exposer. C’est ainsi qu’il a, en septembre 1921, sa deuxième exposition personnelle dans la galerie Haussmann.
Entre 1920 et 1924, Tobeen alterne activités intenses à Paris et périodes où il peut se consacrer tranquillement à la peinture à Saint-Valery-sur-Somme en été, ou à Nice en hiver. En 1924, le couple s’installe définitivement à Saint-Valery. La peinture de Tobeen s’oriente vers plus de réalisme, tout en conservant une synthèse des formes venant du cubisme, par exemple dans Maison blanche avec un petit étang, La Maison blanche et Le Repos (après 1920) ; tableaux qui, ainsi que plusieurs natures mortes avec fleurs, dégagent une atmosphère poétique intime.
En 1927, la galerie Druet organise une exposition d’environ dix ‘peintres bordelais’ parmi lesquels Lacoste, Lhote, Marquet, Sonneville et Tobeen. Le grand connaisseur d’art néerlandais H. P. Bremmer achète lors de cette exposition pour la collection Kröller-Müller, deux œuvres de Tobeen : Nature morte aux pivoines et Vue de Saint-Jean-de-Luz(tout les deux vers 1927). Sous l’influence de Bremmer, l’intérêt aux Pays-Bas pour l’œuvre de Tobeen grandit. A partir de 1928 et jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, le marchand d’art d’Amsterdam Huinck & Scherjon vend des tableaux de Tobeen. Cependant, pendant les années de la crise, le marché ralentit. Tobeen meurt en 1938 à Saint-Valery-sur-Somme laissant sa femme avec peu de ressources.
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Le peintre et graveur français Tobeen (Bordeaux 1880, Saint-Valery-sur-Somme 1938) œuvre pendant une période de grands bouleversements dans le monde de l’art. Résidant à Paris à partir de 1907 il s’intègre dans le groupe des peintres cubistes. Il réalise alors des œuvres influencées par le mouvement, mais trouvera bientôt son style propre : le réalisme poétique. L’empreinte du cubisme y demeurera cependant perceptible.
Tobeen participe à des expositions marquantes comme celle de la Section d’or (Paris 1912) et ses œuvres sont présentes dans de nombreux Salons et galeries. Tobeen travaille lentement et ne laissera qu’environ 300 œuvres, pour la plupart des tableaux, mais aussi quelques gravures sur bois, aquarelles et dessins. La présence de ses œuvres sur le marché de l’art et sa notoriété resteront par conséquent limitées. Pourtant, l’importance de Tobeen a bien été reconnue par de grands marchands d’art, néerlandais, entre autres.
Bien que Tobeen soit né et ait grandi à Bordeaux, il est considéré comme un artiste basque en raison des thèmes qu’il développe dans sa peinture. Pourtant ni lui, ni ses parents, ne sont basques. De même, son véritable nom n’est pas Tobeen, mais Félix Élie Bonnet. Tobeen est un pseudonyme, anagramme ludique de Bonnet. L’artiste signe ses œuvres et sa correspondance : Tobeen, et c’est ainsi que l’appellent ses amis.
Félix Bonnet est issu d’une famille d’artisans. Très jeune, il apprend le métier de décorateur et graveur sur bois dans l’atelier de son père et de son oncle. Il fait également son apprentissage chez l’artiste-peintre bordelais, Émile Brunet. On peut ainsi dire que Tobeen, tout en suivant une formation, est autodidacte.
A l’instar d’Albert Marquet et Odilon Redon, Tobeen quitte Bordeaux pour Paris. Il y rencontre les peintres que l’on appellera bientôt « cubistes », ainsi qu’il l’écrit à son ami, l’artiste-peintre André Lhote, lui-même pour le moment toujours à Bordeaux. Les deux peintres s’impliquent dans le renouveau des arts plastiques, comme en témoigne, en 1913, Le Bassin dans le parc de Tobeen.
Bien que le peintre réside à Paris pendant de longues années, jusqu’en 1924 environ, il n’est pas un citadin. Toute sa vie il retournera à Bordeaux vers la forêt landaise, les vignes du Médoc, ou plus au sud, vers le pays et la côte basque. Il y apprécie la vie campagnarde, les petits ports, les villages au pied des Pyrénées, les hommes et les femmes basques, comme l’attestent ses tableaux : Paysage basque (1910), Pelotaris (1912), Buveur à la gourde (1916), La Basquaise devant le port de Ciboure ou Vue de Saint Jean de Luz (1927).
A Bordeaux, l’art moderne n’est pas exposé ; on ne trouve guère de collectionneurs d’art contemporain, impressionniste, expressionniste ou symboliste. Une des rares exceptions est le vigneron bordelais Gabriel Frizeau, dans la maison duquel Tobeen découvre un environnement artistique. Dans la collection de Frizeau, il trouve des œuvres riches en couleur de Gauguin, Adolphe Monticelli, Georges Rouault ou Maurice de Vlaminck et des symbolistes comme Odilon Redon. Frizeau reçoit régulièrement chez lui des peintres mais aussi des romanciers, des poètes, des journalistes et des critiques. Parmi les peintres on y rencontre Charles Lacoste et André Lhote à qui le collectionneur achète aussi des tableaux.
Entre le poète, écrivain et critique Olivier Hourcade et Tobeen existe une solide amitié qui en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, se termine brutalement avec la mort au champ d’honneur d’Olivier Hourcade. Ce dernier qui apprécie énormément la peinture de Tobeen, a écrit à maintes reprises sur son travail. C’est également grâce à lui que Tobeen participe à des réunions littéraires comme celles de l’Abbaye de Créteil et celle de La Closerie des Lilas. C’est encore par son intermédiaire qu’il fait la connaissance du poète Jean Lebrau avec lequel il restera toujours ami.
En compagnie d’Olivier Hourcade, Tobeen visite aussi les ateliers des frères Raymond Duchamp-Villon et Jacques Villon ainsi que celui d’Albert Gleizes, situés respectivement à Puteaux et Courbevoie en banlieue parisienne. On y débat vivement sur le cubisme, on y développe de nouvelles théories et on y organise des expositions collectives parmi lesquelles celle de la Section d’or de 1912.
Vers 1911, les artistes de ce groupe sont qualifiés, avec une pointe d’ironie, de « cubistes ». Ils poursuivent la voie de Cézanne, réduisent leur palette et adoptent des formes abstraites géométriques. Jacques Villon à qui Tobeen dédicace une version du Filet, souligne l’importance du nombre d’or et des idées de Léonard de Vinci. Il prône ainsi le retour à l’équilibre classique et souhaite que son œuvre témoigne d’un « classicisme de la modernité », ce que revendiquent aussi Gleizes et Metzinger dans leur livre « Du “Cubisme” ». Tobeen ne recherche pas l’application mécanique d’un rapport de mesure fixe comme celui du nombre d’or, mais une harmonie et un rythme selon lui, intemporels, dont il perçoit intuitivement la justesse. Son travail rejoint parfaitement celui des artistes de la Section d’or qui en fait peignent dans un « style parallèle » au cubisme de Picasso et de Braque. Cependant Tobeen, critique, garde ses distances avec le groupe et écrit dans une lettre « (…) les théories m’intéressèrent au début, mais […] l’irréalisation plastique m’apparut aussitôt ». Il s’obstine à poursuivre la tradition occidentale d’une manière cubiste et orphique personnelle et s’orientera finalement vers un style poétique post-cubiste : La Femme aux fleurs (1913), Le Filet (1913). Sa reconnaissance comme peintre date de l’achat de son tableau Pelotaris (1912) au Salon des Indépendants de 1912 par Théodore Duret, critique d’art faisant alors autorité. Lors de ce Salon en 1914, le collectionneur néerlandais, le pasteur Van Assendelft, achète Le Filet (1913); qu’il prêtera pour une exposition de la Rotterdamsche Kunstkring la même année.
Le peintre est mobilisé pendant six mois de mars à septembre 1915 ; il est gravement blessé et après plusieurs séjours à l’hôpital, il sera réformé avec honneur. En septembre 1916 il est à Paris où il épouse la poétesse Louise Justine Dewailly, (dite Madeleine). Il reprend ses activités, peint et prépare des tableaux pour des expositions et la vente. Le marché de l’art reprend et en mai 1917 Tobeen a une exposition personnelle dans la galerie Eugène Blot.
Très vite, il n’est plus uniquement attiré par les paysages du Midi mais également par ceux du nord de la France, d’où est originaire Madeleine. C’est à présent la côte de la Manche qui les séduit plus particulièrement, « continuellement balayée par les grands vents… ». A l’automne 1919, il envoie pour la première fois après la guerre, des travaux aux Salons et à partir de cette période, et jusqu’en 1934, il participe presque tous les ans au Salon d’Automne. Les galeristes lui envoient fréquemment des invitations pour exposer. C’est ainsi qu’il a, en septembre 1921, sa deuxième exposition personnelle dans la galerie Haussmann.
Entre 1920 et 1924, Tobeen alterne activités intenses à Paris et périodes où il peut se consacrer tranquillement à la peinture à Saint-Valery-sur-Somme en été, ou à Nice en hiver. En 1924, le couple s’installe définitivement à Saint-Valery. La peinture de Tobeen s’oriente vers plus de réalisme, tout en conservant une synthèse des formes venant du cubisme, par exemple dans Maison blanche avec un petit étang, La Maison blanche et Le Repos (après 1920) ; tableaux qui, ainsi que plusieurs natures mortes avec fleurs, dégagent une atmosphère poétique intime.
En 1927, la galerie Druet organise une exposition d’environ dix ‘peintres bordelais’ parmi lesquels Lacoste, Lhote, Marquet, Sonneville et Tobeen. Le grand connaisseur d’art néerlandais H. P. Bremmer achète lors de cette exposition pour la collection Kröller-Müller, deux œuvres de Tobeen : Nature morte aux pivoines et Vue de Saint-Jean-de-Luz(tout les deux vers 1927). Sous l’influence de Bremmer, l’intérêt aux Pays-Bas pour l’œuvre de Tobeen grandit. A partir de 1928 et jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, le marchand d’art d’Amsterdam Huinck & Scherjon vend des tableaux de Tobeen. Cependant, pendant les années de la crise, le marché ralentit. Tobeen meurt en 1938 à Saint-Valery-sur-Somme laissant sa femme avec peu de ressources. |
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Comment faire estimer gratuitement un tableau, une peinture de Félix Tobeen ?
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Voici quelques éléments nécessaires à l’estimation gratuite de vos tableaux et dessins anciens, antiquités, objets d’Asie, meubles anciens, livres et gravures etc ...
Présence d’une signature La signature du peintre présente des analogies avec la présence de l’estampille dans l’ébénisterie et la menuiserie. Il faut attendre l’année 1743 pour que l’estampille se généralise sur les meubles. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, selon les nouveaux règlements de la corporation, la marque individuelle de l’ébéniste doit figurer avec la marque collective de la corporation.
Jusqu’à la renaissance, les oeuvres sont souvent anonymes et il faut attendre la seconde moitié du XVIII ème siècle avec le développement du marché ainsi que la création des salons officiels de peinture et de sculpture pour voir apparaitre des oeuvres signées et datées. François Boucher ou Joseph Vernet, peintres à la mode au 18 ème siècle utilisent leur nom pour valoriser leur travail. On assiste alors la construction d’une identité artistique par la présence d’une signature ou d’un monogramme.La forme cursive s’impose et se rapproche de la signature manuscrite de l’artiste. Parfois, avec la signature de l’artiste et la date on peut lire pinxit, delineavit, fecit, faciebat ou invenit. Mais c’est au XIX ème siècle que la signature devient un élément essentiel d’appréciation de l’oeuvre en jouant un rôle dans l’évaluation financière et dans l’authentification. Parfois dissimulées dans la composition, elle peut apparaitre sous forme d’un monogramme accompagné d’une date et d’une localisation. La présence d’une signature ou d’un monogramme sur une toile ancienne, d’une estampille sur une commode ou un siège ne rend pas l’oeuvre authentique car rien n’est plus simple que d’imiter une signature ou une estampille; seul l’expérience et l’oeil d’un expert permet de déterminer si les marques et signatures sont authentiques.
Les dimensions de votre oeuvre Les dimensions de votre tableau sont essentielles pour l’estimation de votre oeuvre; veuillez nous communiquer les dimensions « hors cadre » de votre peinture. Pour l’estimation d’une sculpture, veuillez nous communiquez la hauteur ainsi que la longueur du socle.
La description de votre oeuvre Veuillez nous communiquer tous les éléments en votre possession concernant la provenance : - Achat en vente aux enchères, chez un antiquaire, succession, don… - Le titre de l’oeuvre - Les expertises déjà réalisées (assurance, héritage) - Tous éléments susceptible de nous aider dans l’évaluation
Les photos de votre oeuvre Pour permettre à nos experts de vous communiquer une estimation réaliste, quelques conseils pour prendre les photos de votre oeuvre : - Prendre votre peinture, vitre sculture de face - La signature en plan large - Des détails de votre oeuvre. - Le dos du tableau et toutes mentions manuscrites et étiquettes d’expositions.
Restaurations anciennes L’état de conservation est un élément essentiel d’appréciation d’un tableau, d’une oeuvre d’art. Il faut identifier les restaurations anciennes, les repeints. Il faut aussi s’assurer qu’il s’agit ou non de la toile d’origine (rentoilage, transposition etc).
Présence de vernis Le vernis est en une résine naturelle transparente parfois teinté avec des pigments naturels. Auparavant, il était fabriqué à partir de résine naturelle et jouait un rôle esthétique et protecteur de l’oeuvre; il ravive les couleurs, accentue la profondeur et protège l’oeuvre des poussières, de la lumière excessive et des polluants.
Avec le temps, le vernis jaunie mais son rôle est essentiel dans la conservation des tableaux anciens.
L'encadrement de l'oeuvre Le cadre fait partie intégrante de la peinture, et il joue un rôle essentiel dans la mise en valeur de celle - ci. Il permet également de protéger la peinture contre les dommages. Les cadres anciens du 17 ème et du 18 ème sont sculptés et dorés. Au 19 ème, ils sont moulés et décorés d’éléments en stuc ou plâtre.
• Comment sont déterminées les estimations de mes dessins et peintures contemporaines ?
Notre spécialiste va estimer votre photo en la comparant dans un premier temps à des oeuvres similaires déjà présentées et vendues dans une vente aux enchères en France.
Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre tableau, votre peinture, votre objet d’art et sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection.
Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art
• Dois-je me déplacer avec mon tableau ancien pour obtenir une estimation ?
Dans un premier temps, faites nous parvenir le formulaire d’estimation gratuite en ligne pour une évaluation confidentielle de vos tableaux et peintures anciennes dans les plus brefs délais.
Envoyez-nous vos photos à partir de votre ordinateur ou de votre téléphone.
Si vos photos sont trop nombreuses ou trop lourdes, envoyez nous directement votre demande en cliquant sur ce lien contact@artexpertise.fr
• Quel est le coût d'une estimation d’une peinture contemporaine, d'un dessin ancien ?
L’estimation de vos photos anciennes anciennes est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit.
Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.
Demande d'expertise gratuite
Comment faire expertiser gratuitement un tableau, une peinture de Félix Tobeen ?
Pour confirmer l’estimation qui vous a été communiquée par mail par notre service d’estimation, il faut procéder à l’analyse visuelle de vos objets d’art.
• Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’une œuvre d’art ?
L’expert qui sera en charge de l’estimation de vos objets d’art et de collection doit se munir d’outil comme une loupe éclairante, une lampe de Wood pour mettre en évidence une signature apocryphe, des restaurations anciennes, des repeints etc...
D’autre part, l’expert doit aussi s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux).
Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.
• Dois-je me déplacer avec mon tableau, ma peinture ancienne pour faire procéder à une expertise ?
Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau pour une expertise gratuite et confidentielle.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres.
Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).
• Comment faire authentifier mon tableau ou ma peinture ancienne ?
Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des comités les certificats nécessaires à la mise en vente de vos tableaux, sculptures, antiquités asiatiques et objets d’art.
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Correspondant de l'Etude TAJAN durant 20 ans, Alexis Maréchal, expert en antiquites et objets d'art, se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d'arts et livres anciens que vous souhaitez vendre. Assisté de l'équipe de commissaires-priseurs et d'experts partenaires, il vous propose un service d'estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite. Après évaluation, nous pourrons vous proposer une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d'art dans les meilleures conditions. • Première étape : Demandez une estimation préalable de vos biens, d'après photographies. Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite
• Deuxième étape : Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie. Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s'impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape : Mise en vente aux enchères de votre objet d'art et de collection. Une fois l'expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
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copyright © Cabinet A.Marechal |
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Comment faire estimer gratuitement une peinture ancienne, une sculpture, des objets d'art à Paris ?
Quels sont les critères que les experts utilisent pour vous communiquer une estimation ?
Voici quelques éléments nécessaires à l’estimation gratuite de vos tableaux et dessins anciens, antiquités, objets d’Asie, meubles anciens, livres et gravures etc.
• Présence d’une signature La présence d’une signature ou d’un monogramme sur une toile ancienne, d’une estampille sur une commode ou un siège ne rend pas l’oeuvre authentique car rien n’est plus simple que d’imiter une signature ou une estampille; seul l’expérience et l’oeil d’un expert permet de déterminer si les marques et signatures sont authentiques.
• Les dimensions de votre oeuvre Les dimensions de votre objet d'art sont essentielles pour l’estimation de votre oeuvre; veuillez nous communiquer les dimensions « hors cadre » de votre peinture. Pour l’estimation d’une sculpture, veuillez nous communiquez la hauteur ainsi que la longueur du socle.
• La description de votre oeuvre Veuillez nous communiquer tous les éléments en votre possession concernant la provenance : Achat en vente aux enchères, chez un antiquaire, succession, partage, don… Le titre de l’oeuvre Les expertises déjà réalisées (assurance, héritage) Tous éléments susceptible de nous aider dans l’évaluation de votre objet d'art
• Les photographies de votre oeuvre d'art Pour permettre à nos experts de vous communiquer une estimation réaliste, quelques conseils pour prendre les photos de votre oeuvre : Prendre votre objet d'art de face La signature en plan large Des détails de votre objet d'art (ex: Le dos du tableau et toutes mentions manuscrites et étiquettes d’expositions ...).
Comment sont déterminées les estimations ?
L'un de nos spécialistes en antiquités et objets d’art va estimer votre objet en le comparant dans un premier temps à des objets similaire déjà présentés et vendus dans une vente aux enchères en France. Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre tableau, votre peinture, votre objet d’art et sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection. Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art.
Dois-je me déplacer avec mon tableau, mes objets d'art pour obtenir une estimation ?
Dans un premier temps, faites nous parvenir le formulaire d’estimation gratuite en ligne pour une évaluation confidentielle de vos objets d’art et de collection dans les plus brefs délais. Envoyez-nous vos photos à partir de votre ordinateur ou de votre téléphone. Si vos photos sont trop nombreuses ou trop lourdes, envoyez nous directement votre demande en cliquant sur ce lien estimation@artexpertise.fr
Combien coûte une estimation d’une peinture ou d’une œuvre d’art à Paris ?
L’estimation de vos tableaux et objets d’art est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit. Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.
Comment faire expertiser gratuitement un tableau, des antiquités à Paris ?
Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’une œuvre d’art ?
L’expert qui sera en charge de l’estimation de vos objets d’art et de collection doit se munir d’outil comme une loupe éclairante, une lampe de Wood pour mettre en évidence une signature apocryphe, des restaurations anciennes, des repeints etc. D’autre part, l’expert doit aussi s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux). Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.
Dois-je me déplacer avec mon tableau, ma sculpture ou mes objets d’art pour faire procéder à une expertise ?
Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau pour une expertise gratuite et confidentielle. Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres. Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).
Comment faire authentifier un tableau ou un objet d’art à Paris ?
Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des comités les certificats nécessaires à la mise en vente de vos tableaux,sculptures, antiquités asiatiques et objets d’art. N'hésitez pas à nous contacter afin de assister pour l'expertise et la mise en ventes de vos peintures, sculptures et objets de collection.
Comment vendre au meilleur prix des tableaux et des objets d’art à Paris ?
Artexpertise-Paris le leader en France de l'estimation d'oeuvres d'art en ligne depuis 2009 de se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d'arts et livres anciens que vous souhaitez vendre. Assisté d'une équipe d'experts spécialisés, il vous propose un service d'estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite. Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d'art dans les meilleures conditions.
• Première étape : Demandez une estimation préalable de vos biens, d'après photographies ... Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite.
• Deuxième étape : Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie. Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s'impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape : Mise en vente aux enchères de votre objet d'art et de collection. Une fois l'expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
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